
"I think that my switch to photography from painting, for example, came because I realized that i was more interested in working on things that resided out in the world, and were not restricted to my own psychological field. I realized I was more of a social and political person, and that I was more fascinated by analytical processes."


Dehors est la ville, Edouard Hopper de François Bon éditions Flohic,1998
New York Office, 1962, huile sur toile, 101,6x139,7cm, Montgomery, Montgomery Museum of Fine Arts, collection Blount.
Office in a Small city,1953, huile sur toile,71,1x101,6cm, New York, Museum of Modern Art, fonds Georges A. Hearn, 1953 (53.183)
P27 : « Ce qui est peint de la ville c’est cette séparation. Le temps de la ville est clos et arrêté, ne dépend que des pans de murs monochromes, et la suspension ouverte du temps c’est le corps qui la crée, ici dans la petite ville, devant l’architecture géométrique d’une usine, un homme immobile lève les yeux sur le ciel, ou dans le noir de la boutique au soir sur la rue illuminé, saignée sombre dans la ville très haute et paradoxalement vide. »
P49 : « …inventer le récit sur la seule figure d’un instant immobile, et qui déborde par cette proximité de l’intime, qui semble gagner donc par imprégnation la totalité de la surface de la toile. »
P61 : « …parvenir à tenir récit sur un seul instant suspendu, et que dans cette suspension la géométrie passive de la ville se fasse forme et langage. »
« Par la ville étrangère s’impose la scène même où on sait que le travail surgit plus fort que vous, où vous-même êtes l’outil de votre discipline et pas le contraire. »
Valérie Jouve, impressions ecran du défilement de photos sur le site personnel de l'artiste.
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